Ils ont pris leur rythme et finalement le vieux s’en sort, et le jeune l’encourage, le guide, le porte, s’exclame à chaque branche qui cède, et le vieux porté par la voix du jeune gagne en assurance, n’a plus que faire de l’épuisement, voudrait continuer toujours de manier l’engin parmi les fourrés, être à jamais celui-là qui débroussaille, découpe, élague. (Le taille-haie, page 45)