J’ai bouffé la douleur de mon gosse jusqu’à m’en rendre malade, m’a dit Ehlmann l’unique fois où je l’ai vu, je l’ai bouffée sans même me rendre compte qu’elle entrait en moi, qu’elle m’envahissait, pénétrait à jamais chaque fibre de mon corps et de mes pensées, que je ne serais plus jamais le même.