Anticipant à la fois une "opération gouvernementale d'achat de riz" et une mauvaise récolte, les prix s'étaient "envolés". Mais des bienfaits qui en découlaient, rien justement ne découlait jusqu'aux paysans eux-mêmes. A l'heure actuelle, qui donc avait la main sur les stocks de riz ? Sûrement pas les paysans. Ils avaient vendu les tout derniers grains en novembre ou décembre, quand le riz est le moins cher. Chaque fermier était conscient que de cette "opération d'achat", il ne verrait même pas la queue.