C'est Georges qui a voulu ça, Georges tout seul, parce qu'il voulait faire du cinéma dans la vie réelle (…). On regardait des films tous les deux, avec l'écran de trois mètres sur cinq, et Georges disait : c'est comme un monde qui se substitue à notre regard, et quand tu regardes de près, disait Georges, alors tu te substitues au cinéma, et tu deviens image.