Non, Mamé ne pouvait pas nous quitter maintenant, j’avais besoin d’elle. C’était trop tôt. Je n’étais pas prête à la voir mourir. Je regardais autour de moi, ce salon où je l’avais rencontré pour la première fois. Et à nouveau, je me sentis submergée par le poids des évènements qui avaient eu lieu ici et qui revenaient sans cesse me hanter.