Ce que j'ai tenté de dire, c'est que la richesse est au pouvoir ce que l'air est à la respiration, qu'il l'exige, qu'il ne peut prospérer sans elle. Le genre humain est ainsi. Le pouvoir et la richesse ne peuvent se passer l'un de l'autre comme deux leviers complémentaires, et chacun reçoit son lot dès la naissance ; l'un trouve son bon plaisir, l'autre sans ira maudit dans la tombe.