Quand on participe à une compétition à enjeux élevés, le flux sanguin s’accélère. Il ne connaît rien de comparable. Tuer reste tuer, sauf si le meurtre s’accompagne d’un jeu. Sauf s’il y a une fin de partie offrant une sorte de victoire ultime. Pour obtenir une punition, il faut faire souffrir, et la mort met fin à cette souffrance.