C’est plutôt une plénitude, le sentiment réconfortant qu’il y a un ordre du monde, la confirmation ferme d’une structure fondatrice, un ordre si palpable que quand j’atteins le bout de la rue et que je vois, à ma droite, la sortie du labyrinthe qui me ramène à l’agitation habituelle de la ville, je ne suis pas vraiment tenté de continuer. Mais en même temps je sais que ce n’est pas possible de rester.