D’Ignaz Goldziher, admis à la grande université Al-Azhar du Caire, à Hermann Vambéry qui, déguisé en derviche, gagna Samarkande à pied, à la recherche des origines ouzbèkes – supposées de la langue hongroise, les savants juifs des XIXe et XXe siècles eurent un rapport privilégié avec l’Orient.