« Je vous présente madame Aurélie verdier, qui s’occupe de la comptabilité.» […]
Désarmé par cette arrivée incongrue, Bradley bredouilla une réponse dans un charabia incompréhensible. Cette fille ne cadrait pas avec le décor : dans une atmosphère rétro qui régnait là, il se serait attendu à une employée désuète ; une quinqua à chignon, ou un personnage à la Eugénie Grandet.
Mais Aurélie n’avait pas ce profil. […] Elle portait une robe sombre et bon marché qui épousait parfaitement ses formes. Bradley l’imaginait trente secondes en maillot de bain…
Désolé, je n’ai pas photos d’Aurélie à vous proposer… pour confirmer ou infirmer les propos de l’américain.