Ne pourrait-on réécrire l'histoire de la princesse Zélie, et imaginer qu'elle partage l'aventure avec son chevalier, combattant ensemble et chacun à sa manière les dragons, peuplant ce triste château de rires d'enfants ? Entre être prisonnière de son palais et prisonnière de son dragon-liberté, n'y-a-t-il pas une troisième voie à trouver ?