Ce bagage idéologique, avec au premier plan cette volonté d'anéantir des peuples, Adolf n'en veut pas. Il n'a pas l'intention d'asservir des individus, ni ici, ni à l'autre bout du monde ; tout comme il ne désire pas être asservi. Il ne partage pas le monde entre surhommes et esclaves. N'occuper qu'une petite place, celle qui lui revient, quelque part entre les feuillus et les oiseaux, c'est juste ce qu'il souhaite.