Dans certains coins d'Afrique, c'est toute la tribu qui se sent responsable de la folie des siens .Ils sont traités avec attention. Peut être ressentons -nous cette même responsabilité vis à vis de nos marginaux ,alcooliques ,, terroristes, mais sans vouloir l'assumer. On ne peut vraiment hair que soi- même . Si nous haissons l'alcoolique boiteux qui hurle dans la rue , c'est parce qu' il et un morceau de nous que nous refusons de reconnaitre . Il est notre faiblesse, l'enfant que nous sommes encore qui crie parce qu'on l' étouffe .
Les grandes étapes ne sont pas la vie , mais justement les moments ou elle s'arrête- les moments ou on se deplace.