Selon elle, une œuvre n'était jamais tout à fait finie, seulement abandonnée. Il est toujours possible de la retoucher. Mara cherchait tout simplement le moment où le tableau saurait se défendre tout seul. D'un point de vue artistique, c'était une notion qui lui plaisait, cette idée d'inachèvement, de fluidité, cet horizon sans fin.
Page 239, Mémoire d'Encrier