Lors des premières journées parisiennes, Göring s’achète entre autres objet de convoitise un bâton de maréchal en or serti de diamants, commandé dans les plus brefs délais à la maison Cartier et qu’il paye à un prix dérisoire. On l’apercevra pendant l’été monter et descendre avec grandiloquence le grand escalier du Ritz, en tenue bizarre, l’esprit embrumé par la drogue, faisant tournoyer son bâton comme une majorette éméchée.