Vivre à jamais n'est pas donné à tous.
Une vie fugace, un chant d'oiseau,
les âmes se consument au galop.
Les corps fragiles perdent la bataille,
Les cœurs s'arrêtent et s'écaillent.
Les anges descendent, il est temps de partir,
quitter ce monde, rejoindre le ciel,
Ce lieu paisible et éternel.
L'espoir demeure tandis qu'on tombe,
Libre et léger comme une colombe.
Des ailes blanches jaillissent de mon cœur.
Je vole, je prend de la hauteur.
Les larmes aux yeux, je regarde en bas.
J'ai vécu, j'ai aimé, j'ai quitté mes tracas.