Il jeta un œil à Diego Casas, pensant à la dette qu’il avait envers le père de son compagnon, le vieux Mateo, qui l’avait caché cette nuit-là. Qui l’avait emmené à Valdepeñas dans ses chariots couverts, l’avait nourri, lui avait accordé son aide et s’était chargé de son éducation, il y avait fort longtemps. Le vieil homme était fier de lui.