[...] j'avais peur de cette vie. D'être un humain qui vivrait comme un ver de terre. D'avoir un cerveau qui ne me servirait jamais. D'aimer les sentiers, la lumière et la pluie et de ne plus avoir le droit de les voir. J'étais tel un train qui aurait glissé sur la mauvaise voie et s'apprêtait à atteindre la mauvaise destination.