Le visage de ma mère. La petite opale qu’elle portait à une chaîne d’argent. Chacune de ces visions me causa une douleur cruelle mais de chacune je m’imprégnai car tous ces brefs élancements, quoique innombrables, étaient plus faciles à supporter que la seule et immense souffrance de comprendre que je ne devais plus rien voir, que je devais fermer les yeux, que je devais être aveugle.