Incapables de trouver place dans un taxi, nous allâmes à pied. La circulation était très dense. Depuis la révolution, Téhéran ne pouvait plus être considérée comme une cité en pleine activité ; mais les gens possédaient des voitures et la ville oisive – tant de projets interrompus, tant de grues immobiles au sommet de bâtiments inachevés – produisait au premier abord une impression de grande effervescence.