La seule chose qui subsiste de cette période, ce sont les échos de certaines conversations, une poignée d'idées récurrentes, des poèmes qui me plaisaient et que je relisais jusqu'à les savoir par cœur. Tout le reste est une élaboration postérieure. Mes souvenirs de cette vie là ne pourraient avoir plus de contenu. Ce sont des échafaudages, des structures, des maisons vides.