Tandis qu'elle l'écoutait, Caterina sentait la colère monter en elle. Elle avait beau savoir que l'histoire de Marion ne représentait qu'un drame parmi les centaines qui se déroulaient chaque jour derrière les murs du palais ou sous les toits des masures, elle se demandait pourquoi les femmes et leurs corps devaient toujours être réduits au statut de monnaie d'échange.