On a surnommé Panait Istrati « le vagabond génial » – ainsi il demeurera inscrit dans les siècles, car son esprit ignorant les lettres de cachets, était courageux, révolté, semant tel le vent au printemps à Brăila, de la poussière verte de l’Orient, de la poussière noire des Balkans.
[...]
Je crois, car mon cœur parle, que le nomade a forgé l'écrivain Panait Istrati.
(Fănuș Neagu, traduit par Olivier Cronert, p. 250–251)