[Une infirmière à domicile, à propos d'une veille femme atteinte d'Alzheimer]
Puis elle me tend les bras du fond de son lit pour que je vienne l'embrasser. Des manifestations de tendresse, elle n'en a jamais assez : lors de la toilette, elle se penche doucement pour m'embrasser dans le cou !
Parfois, elle se lève, et vient s'asseoir sur mes genoux... C'est une petite fille désarmée que je tiens, une détresse sans nom.