Pitié. Maintenant tout ce qui touche à Isabelle a quelque chose à voir avec la pitié. Il la plaint d’être moralement délaissée pour Irène ; il la plaint parce que chaque jour la rapproche du jour où elle sera abandonnée ; pour un peu il la plaindrait d’être insupportable. Et quand, au restaurant ou au théâtre, il surprend les regards d’un homme arrêtés sur la gorge, la nuque ou les bras d’Isabelle, il le plaint : « Mon pauvre ami, si tu savais… La veux-tu ? »