« Sur la fibre du temps, se tisse la toile sombre faite des larmes d’un homme cerné de solitude »
C’était encore une de ces nuits. Une de celles où Reagan aurait voulu pouvoir s’arracher le cœur à mains nues pour faire cesser la douleur.
Une de ces nuits où il se demandait si la vie valait vraiment la peine de passer par de telles épreuves.