Chez moi, je passais des soirées calmes et agréables avec ma famille. Ma mère tricotait des écharpes pour les gamins du quartier. Mon père aidait Caleb à faire ses devoirs. Il y avait du feu dans la cheminée et la paix dans mon cœur, puisque je faisais exactement ce que j'avais à faire, et tout était tranquille.
Je n'avais jamais été portée par une armoire à glace, je n'avais jamais eu de fou rire à table, ni écouté la rumeur de cent personnes qui parlent toutes en même temps. La paix a quelque chose de contenu, ça c'est la liberté.