Une journée d'inexistence. Pas l'envie de vivre... (...) Ce n'est pas possible d'avoir du courage tous les jours. Quelquefois, on s'en donne, et la journée peut être même plus belle que les jours où tout est facile, où l'on fait les choses sans y penser, ce qui peut nous rendre distraits et absents à nous-mêmes. Quelquefois, le coeur n'y est pas. Le fond de l'être est lourd, inerte, impossible à remuer. (p.71)