Les questions de Prashad s’avèrent beaucoup moins efficaces. Il s’éternise inutilement et finit ses exposés en queue de poisson. Chomsky, par contre, reste fidèle à sa réputation de limpidité. Il ne jargonne jamais et cite une multiplicité de sources allant de rapports de la CIA à des textes d’opinion parus dans les grands journaux.
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