J’ai croisé des silhouettes aux démarches flegmatiques, des visages peinés, résignés. Comme si tous espéraient un miracle et s’accrochaient du mieux possible en attendant la prochaine vague, la dernière. Une ambiance de fin du monde. J’adorais cette ville (Paris). Pourtant, je n’avais qu’une envie : repartir le plus loin possible, le plus vite possible…