C'est l'art qui m'avait fait comprendre que j'avais besoin d'autre chose, et qui m'avait mis sur le chemin de la Sylve. C'est l'art qui avait édifié mes rêves et qui m'avait donné la force de croire que la magie existait. Au lieu de me rendre triste, au lieu de me faire éprouver mortellement la distance entre un réel et un existence enchantée, il m'avait, lui seul, ému aux larmes, confié le secret qu'un ailleurs m'attendait.