Il y a donc la grimace de la honte. Il y a la grimace de la moquerie. Celles de la colère et de la douleur. La grimace de la honte de soi quand la façade ne contient plus les tourments intérieurs. Il y a ceux qui la portent en eux, qui l’ont gardée. C’est ainsi que la grimace s’est imprimée sur leur corps, sur leur visage, et ils en la renient pas comme s’ils voulaient ne pas faire oublier que l’être humain, malgré toute tentative, ne peut s’en défaire. Certains réussissent si bien à la contenir, mais moi, je suis de ceux qui font la grimace !