Dans cette école, la maîtresse est un monsieur qui s’appelle M. Ferrari. Il est jeune, il n’a pas de moustache et ne roule pas les r. Il dit aux autres que je suis un des enfants du train, qu’ils doivent m’accueillir et me faire me sentir comme chez moi. Chez moi, je n’avais rien, je me dis. Alors ce serait mieux qu’ils me fassent me sentir comme chez eux.
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