[1974]
(...) Paris, pôle absolu de notre vie d'ici, ville dont on disait qu'elle n'était plus vivable et à laquelle on préférait la banlieue ouest où fleurissaient partout des "résidences", promesse d'un american way of life, de l'easy living californien, bordées de maisons avec jardins et piscines qui verdissent pendant l'hiver. (p. 14)