(...) ma grand-mère avait offert à mon frère sa première mobylette. Il m'avait confié que les trépidations de la selle provoquaient chez lui, les premiers temps, des érections suivies d'éjaculations répétées. Puis il avait rougi, s'apercevant qu'il me parlait, à moi, sa soeur de deux ans sa cadette, deux ans, autant dire un gouffre. Au moment d'enfourcher sa mobylette, j'avais été un peu dégoûtée. (p. 59)