A l'époque et en ces lieux, un Occidental était une vraie rareté, c'est pourquoi j'étais très courtisé. Ils m'interrogeaient avidement sur tout, de la musique au cinéma, ils rêvaient des mêmes choses que celles que nous aimions (j'avais vingt-neuf ans) sans pouvoir les avoir, et surtout ils rêvaient de voyager.