Et je lui dis encore
Sais-tu mon âme ma bienheureuse que tu n'as pas entendu le bruit du vent comme tu croyais,
Ni n'as rêvé de l'orage, non plus que des ailes bruyantes du milan de son piaillement aigu, (...)
Mais que tu as trouvé un rythmus nouveau adapté à toi,
Des poèmes qui jettent un pont entre la Vie la Mort que l'air de la nuit faisait voler confusément insaisissables par l'écriture,
Et qui nous ont conduit audacieusement dans le jour les écrire.
(p. 276-277)