Si je pense que dans cette partie du monde peuplée de petites choses, de vie nue, je suis le seul homme qui existe, l’unique être de mon espèce sur des millier d'hectares, je suis effaré, égaré. Alors, j'ai envie de crier, d'entendre ma propre voix. L'écho des canyons me la renvoie altérée et parfois répétée.