Mais il y en avait qui cherchaient vraiment du travail : à la raffinerie de sucre de betterave, par exemple, qui avait besoin de 200 hommes supplémentaires chaque automne après la rentrée de la récolte. Il y eut plus de 900 demandes pour ces emplois au mois de septembre 1930. Le Volskblatt prétendit que la raffinerie prenait de préférence des sympathisants nazis parce qu'ils n'étaient pas organisés en syndicats.