Un tiers des sapeurs et des canonniers avaient étaient atteints, et presque tous les mulets étaient morts ou ruisselaient de sang. Le visage hagard des officiers survivants apportait une dernière touche à cette sinistre scène matinale. Mais tout était fini maintenant. Nous entreprîmes donc d'abattre les mulets blessés et de prendre notre petit-déjeuner.