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Citation de Partemps


Vienne, 1er septembre 1785.

À mon cher ami Haydn.

Un père, résolu à envoyer ses enfants dans le grand monde, crut devoir leur confier la protection et la conduite d'un homme très célèbre de l'époque, qui, heureusement, était plus son meilleur ami. Les voici également, un homme célèbre et mon ami le plus cher, mes enfants. Ils sont, il est vrai, le fruit d'un long et laborieux effort, même si l'espoir que j'ai fait plus d'amis de le voir au moins partiellement compensé m'encourage et me flatte, que ces pièces doivent être un jour de consolation. . Toi-même, très cher ami, dans votre dernier séjour dans cette capitale m'a montré votre satisfaction. Ce votre suffrage m'anime avant tout, de sorte que je vous les recommande, et me donne l'espoir, qu'ils ne paraîtront pas complètement indignes de votre faveur. Veuillez donc les accueillir gentiment et être leur père, guide et ami. À partir de ce moment, je vous donne mes droits sur eux, mais je vous prie de regarder avec indulgence les défauts que l'œil partiel d'un père peut m'avoir caché, et de continuer, malgré eux, votre amitié généreuse envers ceux qui 'apprécie, tandis que je suis de tout cœur votre très sincère ami.
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