Et alors, pourquoi faudrait-il une maison pour une enfance, toujours la même, vers laquelle on reviendrait inévitablement, la maison de son père, tellement belle qu'on finirait par y échouer comme une barque à la dérive ? Ou alors faudrait-il toute sa vie s'acharner à bâtir une maison presque semblable, toujours dans l'ombre de la première...(p.18)