Un jour le Hongrois avait rêvé que les S. l'invitaient à habiter avec eux dans leur maison propre et bien entretenue, dont chaque recoin respirait la présence d'une femme. Et toujours dans son rêve, il avait répondu à l'invitation et s'était immergé dans l'atmosphère familiale. La fin du rêve était des plus tristes et, au réveil, il avait y honte d'y penser. Maintenant, au moment où ils lui déclaraient leur amour, le souvenir de ce vieux rêve lui pinçait le coeur. Tout cela était bien triste.