Ils avaient décoré leur trois-pièces selon le goût de Faramarz. Le minimum de meubles, et aucun bibelot. Comme disait Faramarz : "ça te fera moins de ménage". L'après-midi, quand il rentrait du bureau, il faisait le tour de toutes les pièces. Lorsqu'il ne se savait pas observé par Mahnaz, il passait un doigt sur les tables et les bras des fauteuils.
"L'appartement".