"Marche, où sont tes dilettantes ? tes amoureux ? Ne sont-ce pas ces marcheurs en esprit ? Ou alors, à l'extrême opposé ces vagabonds crevés qui s'échinent à atteindre des Finistères espagnols ? La marche est une sirène aux séductions trompeuses. Et l'homme cède en oubliant que le pélerinage - une marche forcée en quelque sorte - fut longtemps la punition des criminels de sexe et de sang. Nul ne fera jamais que la punition tourne au plaisir sans en payer le prix fort".