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Critiques de Élie Durel (4)
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L'autre fin des Romanof et le prince de l'o..

L'auteur mène une enquête en analysant tout ce qui touche à cette partie complexe de l'histoire. Que s'est-il réellement passé entre le 16 et 17 juillet 1918 ? Où se sont volatilisés Nicolas II, son épouse et leurs 5 enfants ?



L'auteur a la conviction que la famille impériale n'a pas été massacrée dans la maison Ipatiev et qu'une des grandes-duchesses aurait survécu. Toutefois, il viendrait à penser que ce ne serait pas la célèbre Anastasia.



Ça vous parle d'un coup ? Anastasia, famille impériale, Russie... Vous savez désormais de quoi va parler ce livre ! Je ne pouvais qu'avoir envie de découvrir cet ouvrage.



À savoir que c'est un livre assez long (604 pages), ce n'est pas une lecture rapide. Il faut prendre son temps pour bien comprendre et surtout, il faut aller regarder les annexes qui sont super intéressantes. Et surtout, compléter par ses propres recherches.



C'est là que je me dis que je ne lis pas assez de livres historiques. C'est enrichissant et ça change de ce qu'on voit tout le temps sur booksta... 



Attention toutefois, c'est un texte romancé... Ce qui veut dire que tout n'est pas exact dans les faits. Il faut noter qu'il y a des parties du livre qui sont inchangées a l'histoire, celles-ci sont toutes en italiques pour les différencier. Ceci est présent dans la plaquette de présentation du livre, il suffit de lire avant d'acheter 😝 (c'est une critique que j'ai pu voir sur la page Amazon).

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Les mystères d'Ilbaritz

J'ai acheté ce livre parce que je vois le château Ilbarritz de ma plage l'été.

La 4ème de couverture me semblait pas mal. Mais bon cela ne fait pas tout. Hormis ce qui a trait à la construction du château, les histoires qui tournent autour n'ont pas beaucoup d'intérêt et le côté soit disant romancé n'est pas terrible, bien que la deuxième soit un peu plus sympa que celle sur le pervers narcissique et zoophile baron de l'Espée (critères sur lesquels l'auteur aime bien insister).

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Peau de marbre

Je suis de plus en plus attirée vers ce que l’on appelle les polars de terroir. Peau de marbre ne fait pas exception en nous présentant une intrigue digne d’un bon scénario de film. Ici l’action se passe dans la région Angevine au sein d’un grand domaine viticole et familial. On y rencontre la famille de la jeune Anaïs 18 ans tout juste et déjà un talent très prometteur en tant qu’artiste sculpteur. Après la disparition tragique de son grand-père et de sa mère, la vie s’organise autour de sa grand-mère la Comtesse et de son nouveau compagnon un ancien policier blessé à la retraite, ainsi que de son père et de sa nouvelle femme qu’elle n’accepte pas. Heureusement il y a la sculpture et le beau et talentueux voisin d’à côté qui est devenu son maître et son ami pour la soutenir. A partir de là c’est un vrai plaisir de suivre l’enquête en sous-main que va effectuer l’ancien policier et de découvrir toute les ramifications vers lesquelles l’auteur nous entraîne avec grand talent. J’ai particulièrement apprécié le style d’écriture un peu surannée et le langage précieux qui étaient nécessaire pour faire parler la Comtesse. Les descriptions sont très visuelles et étaient parfaites pour visualiser les scènes. Rien que la magnifique couverture m’a fait rêver. Tout le côté artistique est très bien rendu quasi poétique, la blancheur du marbre, la carnation de la peau, les modèles, un monde à découvrir. Je n’ai pu m’empêcher de faire le rapprochement dès la moitié du livre avec un vieux film de 1971 avec De Funès « Jo » et j’avoue que plus l’intrigue avançait et plus je voyais des similitudes, pourtant cela n’a en rien gâché mon plaisir découvrir le dénouement de l’histoire. Un polar à découvrir. Bonne Lecture.
Lien : http://latelierdelitote.cana..
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Peau de marbre

Dans la noble famille de Lavalette, il manque la mère Christine et le grand-père, Hubert. Tous deux victimes d'un accident de voiture sur la route de la Divatte, qui longe la Loire, leur disparition simultanée n'a toujours pas été élucidée cinq ans plus tard. Toutefois la vie continue au château du Valdoré. Le comte Xavier de Lavalette s'est remarié avec Cécile sans le but qu'elle lui donne un héritier. Nadège, la veuve d'Hubert, lors de ses cures thermales ( plus propices aux rencontres que Disons demain ) a lié connaissance avec Bernard Klein, ancien policier, qui tombe tout naturellement sous le charme et en conséquence dans son lit. Seule, Anaïs, la fille unique de 18 ans, a du mal à se remettre du malheur qui a frappé la famille. Elle a toutefois décidé de perdre sa virginité avec le sculpteur, ami de son père, Thomas Préhanic.

Elie Durel, ou Christian DUREAU, de son vrai nom, en bon ligérien originaire de Saumur situe assez naturellement son récit en Anjou. Il allie à l'intrigue policière, qui s'ébauche plutôt tardivement, un aspect qui n'est pas loin du guide touristique, avec descriptions de site troglodyte ( où l'artiste Thomas Préhanic a installé son luxueux atelier ) et recette de fouées. Il verse aussi dans la littérature érotique et pornographique au prétexte de la relation d'Anaïs avec son maître sculpteur et initiateur sexuel ( la jeune Anaïs a de sérieuses prédispositions ), Thomas Préhanic. D'ailleurs, l'auteur fait référence à la célèbre Anaïs Nin, et ses œuvres érotiques , à travers son personnage que le père nomme affectueusement Nin.

L'écriture d'Elie Durel est très factuelle, avec force détails, mais dépourvue de style. Il use du temps présent en permanence. Les dialogues manquent de naturel et de spontanéité. L'effet général est plutôt fade. Il faut laisser passer les 145 premières pages pour voir s'amorcer les tensions relationnelles et l'intrigue policière. On finit par se laisser prendre par l'histoire mais on en devine facilement les tenants et aboutissants. On accordera en revanche à l'auteur la très bonne connaissance des techniques de sculpture qu'il expose et qui suppose une bonne documentation sur le sujet.

Passionné d'histoire et de patrimoine, l'auteur est sans doute plus agréable à lire dans ses guides sur le littoral vendéen, ses phares et ses moulins, de la collection Je découvre, par exemple. Son écriture convient certainement plus à ce type d'ouvrage documentaire qu'au roman.
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