Tout ce qu’il est bon, et nécessaire d’apprendre, dans la souffrance, les larmes, et l’amertume de se taire, avant d’accepter enfin cette idée que l’on meurt… qu’il vient un jour où ni soleil, ni vent, ni voix aimée, ne vous atteignent plus dans votre corps abandonné, descendu au profond de cette nuit de pierre, et que c’est le repos, et que l’on y consent.