incapable de m'arreter de pluerer et de reprendre le controle de moi-meme, je me pressai contre son torse u et me laissais aller.Surpris par cet abandon soudain, il me serra maladroitement dans ses bras, me murmurant d'une voix étrangement douce que j'avais simplement besoin de sommeil.Je me calmais finalement ; ma respiration devint moins saccadés et mes sanglots s’estompèrent. Je ne sais lequel de nous réalisa le premier l'étrangeter de cette proximité , mais je me sentis soudain envahit par autre chose que le despespoir et je n'osai plus faire un geste,de peur de voir mes doutes se confirmer.