Crever ainsi t’était parfaitement égal : incapable de nouer des relations vraies avec les autres, contraint de vivre dans la superficialité des sentiments, tu pensais avoir épuisé toutes les émotions possibles ; tu avais lu beaucoup de livres et la chair de tes conquêtes d’un soir, lors de vos brèves étreintes, était, chaque fois, un peu plus triste hélas !