Lettre adressée à son ami d’enfance Paul Cézanne le 1er août 1860 :
Je veux qu’il [le poète] s’assure du pain par son travail ; ce qui n’a rien que d’honorable. D’ailleurs, l’éditeur vend l’oeuvre au libraire, le libraire au public ; il n’y aurait donc que le pauvre poète qui mourrait de famine, lui qui fait vivre tous ces gens-là.